Saint Aignan Guerlédan et Pontivy

Eglise de St AIGNAN

L'église Saint-Aignan doit son nom à l'évêque de Chartres vers 400, époque où s'élevait là déjà une église pré-romane, remplacée plus tard par d'autres constructions qui subirent des incendies au XIIe siècle, puis en 1262. Saint-Aignan était la paroisse des comtes de Blois et de Chartres

File:Saint-Aignan (56) Église 05.JPG

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Le barrage de Guerlédan

Le barrage de Guerlédan[1] est un barrage hydroélectrique situé sur les communes de Saint Aignan dans le Morbihan et de Mûr-de-Bretagne dans les Côtes-d'Armor, en France

 

 

La prochaine vidange du Lac de Guerlédan aura lieu en 2015

 

Pourquoi vidanger le lac ?

 

Les objectifs de cette vidange exceptionnelle sont de vérifier la structure en béton du barrage, s’il n’y a pas d’éléments qui obstruent l’entrée des turbines, et de nettoyer le fond du lac et ses berges. EDF assure l’entretien du barrage et la vidange du lac.
Depuis 1985, année de la dernière vidange du lac, les visites décennales se font à l’aide d’un robot-caméra sous-marin relié à un moniteur à la surface pour enregistrer les prises de vue

 

La vidange : comment ça marche ?


D’avril à octobre, le lac sera vidé.
A partir d’avril jusqu’à la mi-mai, les vannes du barrage seront ouvertes pour laisser s’écouler l’eau.
A partir de la mi-mai, le lac sera vidé permettant de découvrir dans son ensemble la vallée engloutie.
A partir de cette date, les travaux se dérouleront jusqu’à la fin de l’été puis le niveau de l’eau remontera progressivement à l’automne en fonction des pluies, le barrage sera complètement opérationnel à partir de mars 2016.
Enfin, la vallée engloutie sera de nouveau immergée pendant de longues années.

RETRITEX

Article paru dans Ouest-France:

Créée il y a sept ans, l'entreprise s'est spécialisée dans le tri et la valorisation des tissus usagers. Plus de cinquante salariés y renouent avec l'emploi.

En quelques années, le site de Pontivy s'est métamorphosé, grâce à la mise en place d'un tapis de tri électrique et de convoyeurs, qui ont accru la productivité. Aujourd'hui, la moitié des tonnages collectés sont destinés à l'export. 40,5% sont utilisés comme isolants ou chiffons d'essuyage. 3,5% sont vendus dans les quatre boutiques existantes à Pontivy, Auray et Lorient. Seuls 5% terminent au centre d'enfouissement de Gueltas

Un modèle qui tient la route

L'objectif de cette entreprise d'insertion, qui s'étend désormais sur 3400m2 de bâtiments couverts, est de permettre aux personnes en difficulté de renouer avec l'emploi. Elle n'en reste pas moins soumise à une logique de marché, avec les mêmes contraintes que ses concurrents.

Malgré les difficultés, le modèle économique a fait ses preuves. Retritex affiche en effet un chiffre d'affaires de près de deux millions d'euros en 2011, contre 1,4million en 2010. « Une cinquième boutique devrait ouvrir d'ici la fin de l'année, dans le Morbihan », ajoute Jean-François Maruszyczak.

Les résultats sont également au rendez-vous, côté salariés. Ces derniers restent dans la société en moyenne onze mois, et au maximum deux ans. A la sortie, près d'un sur deux retrouve rapidement un emploi ou une formation. « Pour les autres, cela prend plus de temps, car il reste des problèmes à résoudre ou des projets professionnels à définir », résume Pierre-Alain Castera, chargé de l'insertion professionnelle. Une certification a été mise en place, pour permettre aux employés de valoriser leur passage dans l'entreprise.

PONTIVY

La jolie ville de Pontivy vaut bien qu'on s'y arrête une journée ! Au programme : l'imposant château médiéval des Rohan, les maisons à encorbellement de la vieille ville qui contrastent avec la rigueur des bâtiments napoléoniens et plus loin une myriades de petites chapelles à découvrir.

Construit par la puissante famille bretonne des Rohan au 15e siècle, vous ne pourrez qu'être impressionnés par la silhouette massive du château fortifié de Pontivy. Au pied de ses deux tours en poivrière, la balade dans les ruelles sinueuses de la vieille ville, autour de la place du Martray, est un enchantement. Maisons à colombages et façades médiévales rappellent que la cité connut son heure de gloire grâce à la fabrique de cuirs et de toiles sur les rives du Blavet

Signé Napoléon

Quel étonnement de voir, jouxtant la ville médiévale, les avenues rectilignes et les façades néoclassiques de la période napoléonienne. Un contraste étonnant ! Pontivy fut en effet l'un des grands projets urbains de l'empereur avec La Roche-sur-Yon. Clin d'œil amusant, la cité prendra même, le temps d'une décennie, le nom de Napoléonville, c'est dire...

Des chapelles par dizaines

La campagne environnante est ponctuée de petites chapelles qui valent le détour. D'aspect modeste, leur intérieur recèle de magnifiques décors. Caractéristiques de la région, leurs plafonds lambrissés et peints sont de toute beauté. Coup de cœur pour celui de la chapelle Sainte-Noyale qui date du 15e siècle. L'été, lors du festival L'art dans les chapelles, nombre d'entre elles accueillent des expositions d'art contemporain.

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