Le démantèlement de la centrale nucléaire de Brennilis (Finistère) reste bel et bien un dossier compliqué. L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a averti mardi qu'elle refusait le dossier déposé l'année dernière par EDF en vue du démantèlement total de l'installation. Ce prototype, entré en service en 1967 et unique représentant de la filière à eau lourde, a définitivement cessé de fonctionner en 1985. L'ASN précise que «le dossier n'est pas recevable en l'état pour être mis à consultation du public et recommande ainsi qu'il soit complété au préalable». Le gendarme du nucléaire souhaite notamment que des précisions soient apportées concernant l'entreposage des déchets.

La décision de l'Autorité de sûreté ne signifie pas l'interruption des opérations à Brennilis. EDF pilote actuellement le démantèlement partiel de la centrale de première génération. Cette étape intermédiaire a également connu un certain nombre de vicissitudes: autorisée en 1996, elle a annulé par une décision du Conseil d'État en 2007. La plus haute juridiction administrative avait été saisie par des associations antinucléaires. Les travaux de démantèlement partiel ont finalement été réamorcés en 2011 et l'ASN estime qu'EDF «a bien préparé et bien engagé la reprise des opérations».

Le calendrier délicat de Brennilis vient rappeler à quel point les opérations de démantèlement dans le nucléaire sont aussi difficiles à mettre en œuvre qu'à prévoir dans le temps. Le refus de l'ASN intervient peu après que le nouveau gouvernement a décidé la fermeture de Fessenheim (Haut-Rhin), la plus ancienne centrale exploitée actuellement par EDF.

AUBERGE DU YOUDIG

Cela se passe en Bretagne, dans les Monts d’Arrée, autour du Yeun Ellez, exactement là où les Celtes situaient les portes de l’au-delà, les chrétiens, les portes de l’enfer et les Bretons, le Youdig exactement sur la commune de Brennilis dans le centre finistère.

C’est ici que Klaod Ar Lann et sa famille, passionnés de tradition orale, vous feront voyager dans l’imaginaire et le légendaire pour un total dépaysement,  des journées découvertes accompagnées, des soirées contes et légendes, des séjours peches,

C'est une halte idéal sur le Tour des Monts d'Arrée et sur les chemins de Saint Jacques de Compostelle.Notre gite est nouvellement situe sur le Gr 380, circuit qui vient d'etre modifier, ou alors vous servir de notre lieu pour des découverte en étoile,

Certains soir vous pourrez apprendre quelques pas de danses traditionnelles ou profitez d'une sympathique soirée contes et légendes...

ECOMUSEE DES MONTS D'ARREE

Bienvenue à l’Écomusée des Monts d’Arrée

Créé en 1967 par le Parc naturel régional d’Armorique, l’Écomusée des Monts d’Arrée a  pour vocation, à travers la conservation et la valorisation d’un patrimoine rural bâti et naturel, de s’interroger sur les rapports historiques et contemporains qu’ont établis les habitants des Monts d’Arrée avec leur territoire .

On nomme « Monts d’Arrée » la chaîne de basses montagnes issue du massif armoricain qui travers le Finistère d’Est en Ouest. Les conditions climatiques, le peu de fertilité des sols ou encore l’isolement de ses habitants ont freiné pendant des siècles le développement économique d’une grande partie des communes de ce territoire. Aujourd’hui, grâce à son appartenance au Parc naturel régional d’Armorique, le riche patrimoine naturel et culturel des Monts d’Arrée peut être préservé et mis en valeur.

La ligne de crête des Monts d’Arrée formait la frontière naturelle entre les deux évêchés de Léon et de Cornouaille. Situés de part et d’autre des Monts d’Arrée, les deux sites composant l’Écomusée sont éloignés d’une quinzaine de kilomètres.

La Maison Cornecest placée au cœur du bourg de St Rivoal, au nord de l’ancien évêché de Cornouaille dans les Monts d’Arrée. Construite en 1702, elle abritait sous le même toit hommes et animaux. La collecte de meubles du XVIIIe siècle dans les environs de St Rivoal a permis de reconstituer l’intérieur de cette riche maison paysanne.

Dix kilomètres au nord, le hameau de Kerouat, abandonné dans les années 1960, présente un large ensemble de bâtiments patrimoniaux construits entre le XVIIe et le XIXe siècles.

Construit autour de deux moulins à eau, le village est constitué de deux maisons d’habitations et de multiples bâtiments réservés aux animaux.